15 juin 2009
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16:57
_" Pourrions -nous nous voir ?
_ C'est ce que j'allais vous proposer !Je vous attends dans moins d'un quart d'heure à la place de la Victoire
Loubna fit la moue avant de répondre:
_ Je ne peux sortir ce soir .Mes parents m'ont enfermée à double tour.Si vous voulez, je peux vous voir demain vers dix heures ,mais dans un endroit loin de chez moi.Disons près du cinéma Royal
_ D'accord"
Et il raccrocha rapidement.
*Ce passage est écrit par la talentueuse Melle Khaoukha
Loubna dit d'un air inquiété :
- " Que devrai-je faire à présent ?
- Il va falloir contacter la police ! C'est une occasion à ne pas raté !
La jeune fille baissa la tête et fit une grimace. Sa copine, sentant son malaise, changea de ton pour la rassurer
- Ne t'inquiète pas ma chère, tout ce passera bien.
Aussitôt Loubna embrassa son amie et la remercia pour son soutien.
Un silence mystérieux fit transporter les deux filles dans les profondeurs de leurs pensées, chaqu'une voyant l'histoire de son côté. Houda pensait à la splendeur des actions qui se présenteront lors de la capture du surnommé Oualid; elle était si motivée, le suspect, les agents, les alarmes, l'héroïsme ... tout circulait dans son esprit comme un véritable film policier. En revanche, Loubna, quant a elle, se trouvait dans un pire cauchemar qu'elle aimerait tant arracher de son livre de vie. Elle songeait à son sort maudit, sa malchance. Hantée par le désespoir, elle croyait que c'était sa fin.
Soudain, Loubna interrompa ce long silence assourdissant :
- " Et ... et si ça ne marche pas comme on le souhaite? ... Il va me tuer j'en suis sûre ... et elle plongea dans ses larmes douloureuses.
Houda courru vers son amie, la prit dans ses bras et lui dit en la dorlottant :
- Il n'y parviendra jamais, je t'assure, calme toi mon amie. Allez courage, il faut en parler à tes parents .
à suivre ...
_ C'est ce que j'allais vous proposer !Je vous attends dans moins d'un quart d'heure à la place de la Victoire
Loubna fit la moue avant de répondre:
_ Je ne peux sortir ce soir .Mes parents m'ont enfermée à double tour.Si vous voulez, je peux vous voir demain vers dix heures ,mais dans un endroit loin de chez moi.Disons près du cinéma Royal
_ D'accord"
Et il raccrocha rapidement.
*Ce passage est écrit par la talentueuse Melle Khaoukha
Loubna dit d'un air inquiété :
- " Que devrai-je faire à présent ?
- Il va falloir contacter la police ! C'est une occasion à ne pas raté !
La jeune fille baissa la tête et fit une grimace. Sa copine, sentant son malaise, changea de ton pour la rassurer
- Ne t'inquiète pas ma chère, tout ce passera bien.
Aussitôt Loubna embrassa son amie et la remercia pour son soutien.
Un silence mystérieux fit transporter les deux filles dans les profondeurs de leurs pensées, chaqu'une voyant l'histoire de son côté. Houda pensait à la splendeur des actions qui se présenteront lors de la capture du surnommé Oualid; elle était si motivée, le suspect, les agents, les alarmes, l'héroïsme ... tout circulait dans son esprit comme un véritable film policier. En revanche, Loubna, quant a elle, se trouvait dans un pire cauchemar qu'elle aimerait tant arracher de son livre de vie. Elle songeait à son sort maudit, sa malchance. Hantée par le désespoir, elle croyait que c'était sa fin.
Soudain, Loubna interrompa ce long silence assourdissant :
- " Et ... et si ça ne marche pas comme on le souhaite? ... Il va me tuer j'en suis sûre ... et elle plongea dans ses larmes douloureuses.
Houda courru vers son amie, la prit dans ses bras et lui dit en la dorlottant :
- Il n'y parviendra jamais, je t'assure, calme toi mon amie. Allez courage, il faut en parler à tes parents .
à suivre ...